• Le 24 Avril 2012, des Airores Boréales ont été aperçues en Irlande du Nord, par exemple ici sur cette photo à la chaussée des géants.

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  • Irlande du Nord: une bombe désamorcée Une bombe contenant 250 kg d'explosifs, découverte dans une camionnette abandonnée dans le sud-est de l'Irlande du Nord, a été désamorcée, a annoncé aujourd'hui la police qui a également retrouvé un engin de plus petite taille à Belfast.
    "L'engin contenait deux barils bleus contenant chacun 125 kg d'explosifs artisanaux et un détonateur, un équipement montrant qu'il était prêt à fonctionner", a déclaré un haut responsable de la police, Alasdair Robinson, dans un communiqué.
    La bombe a été retrouvée dans un véhicule utilitaire blanc abandonné en bordure de route près de Newry, non loin de la frontière avec la République d'Irlande. Le véhicule suspect avait été signalé jeudi et les opérations pour neutraliser la bombe se sont terminées vendredi tard dans la nuit.
    "C'était un engin considérable", a souligné le policier. "S'il avait explosé, il aurait été dévastateur. Toute personne à moins de 50 m aurait été tuée, toute personne à moins de 100 m aurait été grièvement blessée", a-t-il ajouté.
    Danny Kennedy, membre de l'Assemblée d'Irlande du Nord pour la région de Newry, a affirmé que cette bombe était destinée à tuer des policiers. Il a mis en cause des "terroristes dangereux, déterminés à provoquer des dégâts, à faire des blessés et des morts parmi les membres des forces de l'ordre, sans se soucier des conséquences pour la population locale".
    La police a également retrouvé un engin de plus petite taille sous une voiture garée dans le nord de Belfast, ce qui a entraîné l'évacuation de 80 personnes pendant quelques heures. Dans ce même quartier, des armes et des munitions ont été découvertes par les policiers enquêtant sur les militants républicains dissidents.
    Malgré les accords de paix de 1998 qui ont mis fin à une trentaine d'années de "troubles" interconfessionnels en Irlande du Nord, un petit nombre de dissidents de l'IRA (catholiques séparatistes) continue à contester par les armes l'appartenance de l'Irlande du Nord au Royaume-Uni. L'IRA a de son côté renoncé à la lutte armée.

    Le figaro


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  • Le couple Irlande-UE sortirait fragilisé d'un «non» au référundum irlandais sur le pacte budgétaire européen

    Le couple Irlande-UE sortirait fragilisé d'un «non» au référundum irlandais sur le pacte budgétaire européen THIERRY CHARLIER/AP/SIPA

    CRISE DE LA DETTE - Alors que le «pacte budgétaire» vital pour l'UE a été décidé au bout d'interminables négociations, l'Irlande va soumettre la décision de son adoption à un référendum, mettant en péril la place du pays au sein d'une UE dont l'unité serait à nouveau menacée...

    Le référendum irlandais sur la ratification du Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire se tiendra d’ici quelques semaines, aucune date n’ayant toutefois été encore précisée. Les Irlandais, attachés à leur souveraineté et opposés à l’harmonisation fiscale imposée par l'Allemagne et la France, rejoindraient le Royaume-Uni et la République tchèque aux rangs des contestataires de ce pacte qui a pour but de mettre un terme à la crise de la dette dans la zone euro.

    Entre européanisme et insularité, une décision délicate pour l’Irlande

    La Grande-Bretagne en s’isolant en décembre dernier a mis l’Irlande dans l’embarras quant à la direction à prendre. Les deux pays sont unis par des liens politiques et économiques de longue date et par leurs intérêts communs, notamment en matière de fiscalité et de protection du secteur financier. Une taxe sur les transactions financières au niveau européen serait par exemple mal accueillie, tant l’Irlande est financièrement liée au Royaume-Uni, qui lui n’y serait pas soumis. 

    Mais en cas de nouvelle victoire du «non», l'Irlande aurait du mal à se maintenir dans la zone euro, a averti le mois dernier le ministre irlandais des Affaires européennes, malgré un niveau de croissance modérée retrouvé. Une place au sein de l’Union européenne qui a été néanmoins source de croissance pour l’Irlande depuis son entrée en 1972. D’autant qu’à l’instar du Portugal, qui va recevoir une nouvelle aide, l’Irlande pourrait avoir besoin de fonds supplémentaires dans les mois futurs pour poursuivre son désendettement (son renflouement se boucle en 2013). Or, si le pacte est rejeté, les Irlandais perdront les bénéfices du fonds de secours (le futur MES) auquel ils ont pourtant eu recours en 2010 – un prêt de 85 milliards d'euros  –, comme le Portugal justement mais également au même titre que la Grèce.

    Un «non» irlandais de plus qui déstabiliserait l’Europe sans la stopper

    «Je crois fermement que l'intérêt de l'Irlande est que ce traité soit approuvé», a précisé le chef du gouvernement qui entend présenter un refus comme un «suicide économique». Dans le même temps, une autre partie de la gauche irlandaise s'est aussitôt lancée dans la campagne pour le «non», symbole du mécontentement envers la politique d'austérité. L'Irish Times rapporte que le ministre irlandais des Finances aurait déclaré à propos du référendum que «cela reviendrait à demander aux Irlandais s'ils veulent rester ou non au sein de la zone euro.» Un couac qui serait donc de taille pour l’union monétaire européenne.

    L'Irlande et 24 autres pays de l'UE se sont pourtant mis d'accord en janvier sur ce pacte destiné à renforcer la discipline budgétaire. Ce texte doit désormais être ratifié par chaque pays. Si les Irlandais disent non, le pacte ne s’appliquerait alors qu’aux seize autre pays, renforçant l’image d’une Europe à plusieurs vitesses. Les insulaires s’étaient déjà opposés en 2001 et 2008 aux traités fondamentaux de l’UE de Nice et de Lisbonne. Une situation à laquelle l’UE a déjà fait face, mais jamais durant une conjoncture aussi difficile économiquement.

    Ce pacte budgétaire, quiprévoit la mise en place de la «règle d'or» pour freiner les déficits, rentrera toutefois en vigueur dès que 12 pays l'auront ratifié, preuve que les dirigeants européens prévu cette fois-ci la possibilité d’une opposition nationale. Le traité ne serait alors contraignant que pour les seuls signataires, avec des sanctions automatiques pour les pays ne le respectant pas. Les négociateurs du texte avaient même pris soin de retirer l'obligation pour les pays signataires d'inscrire la règle d'or dans leur constitution, dans l'espoir ainsi d'éviter des procédures trop lourdes ou des référendums.

    L’Irlande, avec cette opposition, renforcerait l’image d’une Union européenne désunie qui tente pourtant avec ce pacte budgétaire de se trouver une harmonie économie et politique. «Le risque, si l'Irlande dit non, c'est que cela refroidisse tout le monde et que cela envoie un mauvais signal pour le traité» qui devra être ratifié par tous les pays, dit le diplomate. Ce pourrait être le cas notamment en France, où le candidat socialiste à l'élection présidentielle de fin avril et début mai, François Hollande, demande déjà sa renégociation. A deux jours d'un nouveau conseil européen axé sur la signature de ce pacte.

    Bertrand de Volontat
    20 Minutes.fr
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  • Pour être heureux, mieux vaut être marié ou en couple, avoir un travail, des enfants et... vivre en Irlande du Nord, révèle la première étude officielle du gouvernement britannique sur le bonheur publiée mercredi dans la presse.

    Pour être heureux, mieux vaut être marié ou en couple, avoir un travail, des enfants et... vivre en Irlande du Nord, révèle la première étude officielle du gouvernement britannique sur le bonheur publiée mercredi dans la presse.

    Pour être heureux, mieux vaut être marié ou en couple, avoir un travail, des enfants et... vivre en Irlande du Nord, révèle la première étude officielle du gouvernement britannique sur le bonheur publiée mercredi dans la presse.

    A l'inverse, un divorcé londonien âgé de 45 à 50 ans a de bonnes chances de se sentir le plus malheureux des Britanniques, selon l'enquête de l'Office national des statistiques (ONS).

    L'élaboration d'un "indice du bien-être" était une des priorités affichées par le Premier ministre David Cameron, après son arrivée à Downing Street en mai 2010.

    L'ONS a soumis à un questionnaire près de 80.000 personnes de plus de 16 ans vivant au Royaume-Uni en 2011.

    Invités à donner une note de 0 à 10 à leur degré de satisfaction sur leur vie "en général", 75,5% des Britanniques ont attribué une note supérieure ou égale à 7. Un quart se hissent à 9 sur 10 d'indice de satisfaction.

    S'il y a peu de différences entre hommes et femmes, l'âge joue un rôle important: les plus heureux sont les 16-19 ans et les seniors de 65 à 79 ans (7,8 sur 10).

    L'indice global de satisfaction au Royaume-Uni est estimé à 7,4 sur 10, avec des disparités sensibles par région: les habitants d'Irlande du Nord se déclarent les plus satisfaits de leur vie (7,6 sur 10), suivis des Ecossais (7,5), puis des Anglais et des Gallois (7,4).

    Les Londoniens sont dans l'ensemble moins satisfaits (7,2) et expriment le plus haut degré d'anxiété du pays (noté 3,5 sur une échelle de 10).

    Sans surprise, les indices de satisfaction et de bonheur chutent chez le adultes sans emploi.

    Parmi les personnes interrogées, les groupes ethniques d'origine pakistanaise, bangladaise et les Noirs sont moins satisfaits de leur vie que la moyenne des Britanniques, avec des notes inférieures à 7.

    Le Point.fr

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    L'Irlande de Jonathan Sexton prend le dessus sur l'Italie. (Reuters)
    L'Irlande de Jonathan Sexton prend le dessus sur l'Italie. (Reuters)

    Malgré une bonne première période, les Italiens n'ont pas pu résister au retour de l'Irlande qui s'est imposée largement (42-10) et a fini en roue libre.

    Jacques Brunel le répète depuis le début du Tournoi, il aime l'état d'esprit de ses joueurs. Et c'est vrai que ces Italiens-là sont bien séduisants avec leurs intentions offensives. La façon dont ils ont bousculé les Irlandais durant la première période laissait penser qu'on pouvait assister à une surprise dans cet Aviva Stadium qui n'a jamais tant réussi au XV du Trèfle. Mais comme face à l'Angleterre lors de la deuxième journée (15-19), la Squadra Azzurra n'a pas tenu ses promesses. Le score de parité à la pause n'aurait pas été volé après un essai de Parisse venu conclure une vraie domination italienne qui laissait présager d'un deuxième acte de toute beauté. Las, les Irlandais franchissaient une deuxième fois la ligne adverse par Bowe (17-10) juste avant de rentrer aux vestiaires. Un coup de massue derrière les nuques italiennes et le signal du réveil pour les Irlandais qui n'avaient guère apprécié d'être malmenés devant leurs spectateurs et d'entendre scander « Italia » dans leur stade. Et à force d'avoir vendangé bon nombre d'occasions, les Italiens ont finalement vu revenir les Irlandais sans pouvoir réagir.

    Le réveil irlandais sonne le glas des espoirs italiens

    La domination en mêlée du début du match n'était plus qu'un souvenir tant Cian Healy avait retrouvé de la superbe. Paul O'Connell était redevenu ce guerrier infatigable et Tommy Bowe faisait un festival (2 essais). A l'heure de jeu, les Italiens craquaient définitivement et voyaient s'envoler définitivement toute possibilité de revenir dans la rencontre. Le réalisme leur a trop manqué, ainsi qu'un jeu au pied rassurant et un buteur régulier (12 points perdus par Botes), pour inquiéter des Irlandais qui cherchent à faire oublier leur échec initial face au pays de Galles (21-23). Pour les Italiens qui se sont inclinés sur le lourd score de 42-10 (aucun point inscrit en seconde période), il reste encore beaucoup de travail malgré une bonne volonté.

    B.L.

    MSN Actualité

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