• Ce dimanche dernier, 22 Janvier 2012, les irlandais de Donegal ont eu la chance d'assister à un grand spectacle: La manifestation d'aurores boréales, dont voici quelques photos:


    Irish Time


    Brenden Alexander


    George Clarke



    Irish Time

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  • DUBLIN - Deux bombes posées par des membres de l'Armée républicaine irlandaise (IRA) ont explosé sans blesser personne, jeudi soir, dans la ville de Londonderry.

    Les policiers ont rapidement procédé à l'évacuation de la zone visée après avoir reçu des appels d'avertissement.

    Une première bombe, placée devant le principal bureau d'office touristique de la ville, a expliqué alors qu'environ 75 résidants d'un centre de soins longue durée étaient toujours en cours d'évacuation à 25 mètres de là, selon Martina Anderson, ancienne membre de l'IRA et élue dans Londonderry sous la bannière du parti nationaliste de Sinn Fein.

    Elle a ajouté que les dissidents de l'IRA devaient s'expliquer sur leurs actes et sur ce qu'ils espéraient voir résulter de tels gestes, si ce n'est que «d'interrompre la tranquillité de vie de personnes vulnérables».

    Le surintendant de police en chef et commandant de la police de la deuxième plus grande ville de l'Irlande du Nord, Stephen Martin, a souligné que la majeure partie de Londonderry serait interdite à la circulation vendredi pour permettre aux agents de fouiller les environs à la recherche de preuves.

    La police a aussi évacué le principal centre commercial de la ville, alors que les bombes, placées dans des rues à proximité, ont détonné à dix minutes d'intervalle. Au moins une bombe semblait avoir été dissimulée dans un sac de sport laissé à l'abandon.

    Le surintendant Martin a expliqué que deux appels téléphoniques codifiés avaient prévenu les policiers une demi-heure avant la détonation de la première bombe.

    Les attentats de jeudi surviennent à la veille d'un jugement de la cour dans le procès de deux individus, soupçonnés d'être des dissidents de l'IRA et accusés du meurtre de deux soldats britanniques, en mars 2009.

    Les victimes étaient en congé et ne portaient pas d'armes lorsqu'elles ont été abattues par balles, alors qu'elles récupéraient une pizza devant l'entrée de leur base militaire. Ces soldats sont les premiers meurtres dans les rangs de l'armée britannique en Irlande du Nord depuis 1998, l'année de la signature d'un accord de paix (Good Friday).

    Metro

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  • Un petit site pour se détendre. Il suffit juste de cliquer ICI, d'appuyer sur le bouton "play", et de fermer les yeux. Ensuite, vous êtes transporté (es) sur une plage irlandaise, bercé (es) par le bruit des vagues... Très reposant pour la fin de la semaine...

    Relaxation

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  • Sean Quinn fut un temps l'homme le plus riche d'Irlande : à la veille de l'éclatement de la bulle immobilière irlandaise, en 2008, cet investisseur disposait d'une fortune estimée à 4,7 milliards d'euros.

    Aujourd'hui ruiné par la chute de l'Anglo Irish Bank (lien vers notre édition abonnés), "Quinn le puissant" s'est vu refuser, mardi 10 janvier, par le tribunal de Belfast, le droit de se déclarer en faillite en Ulster, comme il le souhaitait afin d'accélérer son éventuel retour aux affaires. La législation est en effet plus favorable dans la province britannique qu'en République d'Irlande, où M. Quinn, 65 ans, pourrait devoir patentier douze ans avant de commencer à se refaire, au lieu d'un an.

    Le tribunal a estimé que M. Quinn ne pouvait prétendre que l'épicentre de ses affaires se trouvait dans la province britannique, comme il le soutenait, et a annulé sa déclaration de faillite déposée en novembre 2011 – il déclarait alors disposer d'à peine 60 000 euros d'avoirs. L'Irish Bank Resolution Corporation, le nouveau nom de l'Anglo-Irish Bank, qui lui réclame 2,8 milliards d'euros, s'était pourvue en justice.

    "CE QUI S'EST PASSÉ ICI EST UNE PARODIE"

    "Que je sois en faillite en Irlande ou en Ulster n'a aucune importance, a commenté M. Quinn à sa sortie du tribunal. Tout ce que ces gens [la banque, NDLR] veulent, c'est détourner l'attention. Ce qui s'est passé ici est une parodie."

    La "parodie" de l'Anglo-Irish Bank, jadis la troisième banque irlandaise, a coûté à l'Etat irlandais 34 milliards d'euros en 2008 : cette injection de liquidités avait évité la faillite à la banque, mais pas la nationalisation, en 2009. Dans le même temps, Sean Quinn avait perdu l'essentiel de sa fortune, après avoir acquis progressivement 28 % des parts de l'institution.

    M. Quinn avait énergiquement constitué son capital depuis 1973, à partir d'une petite entreprise familiale d'exploitation de carrières du comté de Fermanagh, en Irlande du Nord. A coups de diversifications, il  en avait fait un géant dans les secteurs de l'assurance et de l'immobilier. Au plus fort de  sa richesse, alors que son groupe employait plus de cinq mille cinq cents salariés en Ulster et en République d'Irlande, il sillonnait l'Europe de l'Est à bord d'un jet privé, accompagné d'une armada d'avocats d'affaires, en quête de contrats immobiliers juteux.

    L'Irlande a plongé en 2008 dans la crise après l'éclatement d'une bulle immobilière et l'effondrement du secteur bancaire. Les banques du pays ont frôlé la faillite après avoir prêté sans compter pendant des années, laissant les prix de l'immobilier s'envoler de plus de 330 % sur dix ans. En 2007, les encours de prêts des banques irlandaises au secteur représentaient près de 250 % du produit national brut (PNB) : le ratio de loin le plus élevé de toute la zone euro.7

    Le monde

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  • Lynch's Castle - GalwayAu milieu du 17e siècle les gardiens catholique et vicaires de l'église collégiale de Saint-Nicolas à Galway gardaient un livre ancien dans lequel avaient été enregistrés les événements importants dans l'histoire de la ville. En 1674, un prêtre espagnol, le frère De Ayora arriva à Galway afin d'enquêter et de retracer l'arbre généalogique d'un dignitaire Lynch qui avait été nommé à un poste universitaire distingué en Espagne. On lui montra le livre ancien de Saint-Nicolas où il a extrait certains comptes relatifs à la famille Lynch dont un en rapport à l'histoire ou la légende du maire Lynch et de son fils.

     À la fin du 15ème siècle le maire de Galway du nom de  James Lynch envoya son fils dans un voyage vers l'Espagne afin de recueillir une cargaison de vin. Le jeunes Lynch a été nommé capitaine de l'un des navires de son père et on lui avait confié une grosse somme d'argent à cet effet. Toutefois, pour des raisons inconnues, une grande partie de cet argent a disparu et Lynch a été forcé de se prévaloir du crédit de son père afin de sécuriser la marchandise et pour un temps dissimuler la carence. Le négociant espagnol qui lui a fourni l'occasion, envoya son neveu pour accompagner Lynch à son retour à Galway pour recevoir le paiement et d'établir des correspondances supplémentaires.

    Pendant le voyage de retour, Lynch est devenu extrêmement inquiet sachant que son père allait bientôt être mis au courant du détournement à son arrivée à Galway. Il a conçu un plan pour assassiner le jeune Espagnol ayant amené l'équipage au cours de son but par la peur et les promesses de récompense. À mi-chemin du voyage, une nuit le malheureux Espagnol était saisi de son lit et jetés par dessus bord. De retour à Galway le maire reçu de son fils avec joie et peu après le fit entrer dans le monde des affaires.

    Après un certain temps le jeune Lynch pensa qu'il n'avait plus rien à craindre de la découverte de son acte et avait même prévu de se marier. Cependant l'un des marins qui avaient été sur le bateau,  malheureusement, était gravement malade et sur son lit de mort, il demanda le mairie Lynch. Le mourant raconta au maire les événements qui avaient eu lieu à bord du navire. Le maire, furieux par cet acte d'assassinat, demanda à son fils sa version des faits. Ce dernier a finalement admis sa culpabilité. C'était maintenant à son père de rendre la justice pour ce crime car il devait aussi agir en tant que magistrat: Il condamna son propre fils à mort.Malgré les efforts de certains pour le faire revenir sur sa décision, il ne changea pas d’avis et décréta uneexécution publique.

    Le matin fatidiqueLynch's Castle - Galway, il semble que le maire, le fils et les huissiers ont été incapables d'atteindre le lieu d'exécution, car une grande foule s'était rassemblée pour empêcher la pendaison. La tentative de traverser la foule était désespérée pour le maire, tenant toujours son fils, il tourna le dos et entra sa propre maison qui était était à proximité. En atteignant une fenêtre à l'étage donnant sur la rue il y attacha une corde autour du cou de son fils, a fixa l'autre bout de la corde et jeta son fils par la fenêtre afin qu'il soit pendu à la vue de la foule rassemblée ci-dessous.

    Certaines personnes croient que le mot lynchage vient de cette histoire de la pendaison Lynch à Galway àla fin du 15ème siècle.

    (Legendquest.ie)

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